Aigles et Lys
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Olivier de Saint-Georges de Vérac
Portrait[1] de Armand-Maximilien-François-Joseph de Saint-Georges, marquis-pair de Vérac (1768-1858)- maréchal de camp- gouverneur du château de Versailles de 1819 à 1830, Robert Lefèvre, 1817, château de Versailles
Portrait[1] de Armand-Maximilien-François-Joseph de Saint-Georges, marquis-pair de Vérac (1768-1858)- maréchal de camp- gouverneur du château de Versailles de 1819 à 1830, Robert Lefèvre, 1817, château de Versailles

Titre Vicomte[2] de Vérac
Autre titre Marquis de Vérac (1817)
Grade militaire Maréchal de camp
Commandement Gouverneur du château de Versailles
Conflits Guerres révolutionnaires
Distinctions Chevalier du Saint-Esprit
Légion d'honneur
(Grand officier)
Autres fonctions Conseiller général de Seine-et-Oise
Pair de France
Biographie
Dynastie Famille de Saint-Georges[3]
Origine Royaume de France Royaume de France
Nom de naissance Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier de Saint-Georges de Vérac
Surnom Olivier de Saint-Georges de Couhé
Naissance 1er août 1768
Paris
Décès 13 août 1858 (à 90 ans)
Le Tremblay-sur-Mauldre
Père Charles Olivier de Saint-Georges de Vérac
Mère Marie Charlotte Joséphine Sabine de Croÿ d'Havré
Conjoint Euphémie de Noailles

Orn ext marquis et pair OSE
Blason fam fr Saint-George (de)

Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier de Saint-Georges, vicomte[2] puis marquis de Vérac, né le 1er août 1768 à Paris et mort le 13 août 1858 au château du Tremblay-sur-Mauldre[4] est un militaire et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles.

Biographie[]

Quatrième fils du marquis de Vérac, Olivier de Saint-Georges naquit à Paris, le 1er août 1768.

Destiné comme ses aïeux à la carrière des armes, il débuta à l'âge de quinze ans dans les gardes du corps du roi ; passa, en 1786, sous-lieutenant dans les carabiniers royaux, y reçut le grade de capitaine en 1788. Sa carrière naissante fut brisée par la Révolution française[5].

Émigration[]

S’étant rendu à Soleure, auprès de son père, ambassadeur en Suisse, il y trouva le baron de Breteuil, ancien ministre de la maison du roi, qui y résidait avec sa famille depuis les premiers jours de l’émigration. Le baron de Breteuil, « qui avait la confiance et les pouvoirs de Louis XVI, et était seul confident, au dehors, du voyage de Varennes […][5] » choisit le jeune Olivier de Vérac pour être son secrétaire, l’aider dans sa correspondance avec le roi et l’étranger, l’envoyer même porteur de dépêches à Paris, « au péril de sa vie[5] », l’initiant ainsi à des secrets qu’ignorait son père.

Après que l'on ait appris la nouvelle de l’arrestation du roi, le jeune homme demeura au même poste, associé aux efforts que continua de faire M. de Breteuil pour sauver le roi et la reine[5]. Il fut constamment initié aux confidences que les souverains déchus et captifs, parvenaient quelquefois à adresser à leurs serviteurs.

Après l'exécution de Louis XVI, de Vérac suivit le baron de Breteuil à Bruxelles[6] puis prit du service à l’étranger[5]. En 1796, il suivit, dans l'état-major de Wurmser les opérations de la campagne d'Italie[6].

Le vicomte de Vérac, qui n'était porté nominativement sur aucune liste d’émigrés, rentra en France, en 1799.

Premier Empire[]

De Vérac, en 1807, fut l’objet d’une rigueur personnelle, et exilé en Belgique, par l’Empereur, qui le mit pendant plusieurs années sous la surveillance des autorités administratives. Il rentra définitivement en France en 1809[6].

En 1810, il épousa mademoiselle Euphémie de Noailles, fille du général-vicomte de Noailles, qui venait de périr, en 1804.

Restauration française[]

Après l’abdication de Fontainebleau, il salua, avec enthousiasme, le retour des Bourbons, qui n’avaient pas perdu le souvenir de son dévouement à Louis XVI. Il fut nommé chevalier de Saint-Louis, le 24 août 1814 ; membre du conseil général de Seine-et-Oise, le 30 septembre de la même année, et pair de France, le 17 août 1815.

Entré dans la vie publique, « son esprit éclairé et judicieux ne le fit pas hésiter sur la nécessité de marcher avec franchise[5] » dans la voie du gouvernement représentatif dont la Restauration venait de doter la France. Aussi fut-il un des membres les plus décidés et les plus intelligents du parti modéré qui formait la majorité de la pairie, et qui fut connu plus tard sous le nom de centre droit[5]. On aura tout dit sur sa couleur politique, en disant qu’il était ami intime du duc de Richelieu, et partageait ses opinions[5]. Il le servit activement dans sa ligne de conduite, et entre autres, contribua beaucoup à son rapprochement avec M. de Villèle.

Vérac vota pour la mort dans le procès du maréchal Ney[6].

Il tint constamment une place importante à la chambre haute (bien qu'éloigné de la tribune par un léger défaut de prononciation[6]), par la part qu’il prit aux questions qui s’y traitaient, au travail des commissions, aux transactions des partis, et il porta le même esprit et la même influence dans les conseils généraux et les collèges électoraux (qu’il présidait, depuis 1818, à chaque session[7]), également apprécié par les hommes politiques et par la cour, où il tenait une place marquante, comme grand officier de la Légion d'honneur[5] et gouverneur du château de Versailles (1819[7]).

M. de Forbin ayant eu l'idée, en 1822, en raison de l'abondance des tableaux, d'installer un musée à Versailles, M. de Vérac s'opposa à tout aménagement qui rendrait le palais inhabitable pour le roi ; il objecta en outre que, parmi les tableaux, il y en avait de peu convenables, entre autres une Athalie « qui montre un derrière aussi effrayant que le songe qui l'agite ». L'idée fut abandonnée[6].

Gouverneur intérimaire du palais des Tuileries en 1823, commandeur de la Légion d'honneur à l'occasion du sacre de Charles X, le marquis de Vérac fut élevé au rang de grand officier de la Légion d'honneur en 1829[6].

Monarchie de Juillet[]

Il était encore gouverneur de Versailles lorsqu'éclata la révolution de Juillet 1830 : « il la vit avec une amère douleur[5] », mais la chambre des pairs ayant été conservée, il y resta, professant la maxime « qu’il ne faut pas se séparer volontairement du pays, quand on occupe une position indépendante, où l’on peut encore empêcher le mal et faire le bien[8] ».

Il y prêta, en effet, son appui aux mesures qui pouvaient affermir l’ordre et repousser la révolution, sans faire pour cela le sacrifice de ses sentiments et de ses opinions[8]. Il protesta vivement contre la proposition de l'abolition du deuil national du 21 janvier (commémorant la mort de Louis XVI), parla (1836) dans le procès Meunier en faveur de Lavaux[6], et éleva encore quelquefois la voix dans l’assemblée « pour réclamer en faveur de ce qui était juste et utile au pays[8] ».

Bien qu'il eut prêté serment à Louis-Philippe Ier, ceci ne l'empêcha pas de se rendre à Londres pour rencontrer le comte de Chambord vers 1843-1844[9].

Du reste, il ne vécut réellement plus qu’en homme privé, ne siégeant que fort irrégulièrement[6] jusqu'à la révolution de Février 1848 qui le rendit à la vie privée. Il mourut le 13 août 1858, à l’âge de 90 ans.

Récapitulatifs[]

Titres[]

Du fait de son élévation au rang de marquis, il eut deux marquis de Vérac[2] :

  • de 1818 à 1828, Olivier (marquis et pair) et son père Charles Olivier (4e marquis de Vérac) ;
  • de 1828 à 1838, Olivier et son frère aîné Anne Louis Joseph César Olivier (5e marquis de Vérac).

Sa titulature était : S.S. le marquis de Vérac[9].

Décorations[]

Chevalier du Saint-Esprit Grand officier de la Légion d'Honneur Chevalier de Saint-Louis Décoration du Lys

Armoiries[]

Écartelé: aux 1 et 4, d'argent, à la croix de gueules ; aux 2 et 3, fascé ondé enté d'argent et de gueules de six pièces (de Rochechouart).[12],[13],[14],[10]

Ascendance & postérité[]

Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier était le cinquième enfant de Charles Olivier de Saint-Georges (1743-1828), 4e marquis de Vérac et de Marie Charlotte Joséphine Sabine de Croÿ d'Havré (1740-1776).

Il avait pour frères et sœurs :

  • Charles François Marie Joseph (Paris, 31 octobre 1761 - 19 juin 1763) ;
  • Anne Louis Joseph César Olivier (Paris, 22 juillet 1763 - Paris, 13 février 1838), 5e marquis de Vérac, marié, le 24 octobre 1785 à Paris, avec Gabrielle Françoise Eustachie ( † 15 juin 1822), fille de Charles François Gaspard Fidèle de Vintimille, sans postérité. César de Vérac fut marié très-jeune à mademoiselle de Vintimille, fille du comte de Vintimille, chevalier d'honneur de madame la comtesse d'Artois, qui obtint pour son gendre la survivance de cette place. Le comte de Vérac suivit la princesse en émigration, servit il l’armée des princes, et rentra en France quand les circonstances le permirent. Il fut nommé, à la Restauration, gentilhomme d’honneur de Monsieur, comte d'Artois, et plus tard, un des quatre chambellans de Charles X de France[8].
  • Alphonse Christian Théodoric Joseph Olivier (né le 16 février 1765 - Paris) ;
  • Anne Justine Elisabeth Joséphine (née le 13 avril 1767 - Paris), mariée, le 27 avril 1779 à Paris, avec Benjamin Léonor Louis Frotier (1760-1806), marquis de La Coste-Messelière, colonel de cavalerie, ministre plénipotentiaire, député aux États généraux de 1789, député du Cantal à la Convention nationale, préfet napoléonien (Allier), dont postérité ;
  • Gabriel Louis Christian Joseph ( † 10 mars 1839 à Paris), chevalier de Malte et chevalier de Saint-Louis. Il servit à l’armée des princes et en Espagne[8].

Il épousa, le 12 mai 1810 à Paris, avec Adélaïde-Marie-Euphémie-Cécile de Noailles (Paris, 17 mai 1790 - La Norville, 21 août 1870), fille de Louis-Marie, vicomte de Noailles, maréchal-de-camp, chevalier des ordres de Saint-Louis et chevalier de Malte, et de l'« association » de Cincinnatus, et d'Anne-Jeanne-Baptiste-Pauline-Adrienne-Louise-Dominique de Noailles d'Ayen[7] (1758-1794).

  • Ensemble, ils eurent trois filles :
    • Blason ville fr Puget-Théniers (Alpes-Maritimes)

      Armes de la famille de Rougé.

      Marie Charlotte Adrienne Philippine (Paris VIIe, 27 février 1811 - Paris, 18 mars 1886), mariée, le 17 juin 1833 à Paris Xe, avec Adolphe (1808-1871), comte de Rougé, dont :
      • Jeanne-Charlotte de Rougé (née le 20 octobre 1834), mariée le 10 mai 1859 à Théodore de Rous, marquis de La Mazelière (18201873), dont postérité ;
      • Marguerite de Rougé (née le 15 décembre 1835), mariée le 25 juillet 1865 à Gonzague (né en 1838), marquis d'Isoard de Vauvenargues, dont postérité ;
      • Cécile de Rougé, religieuse,
      • Arthur Marie Paul Augustin, 10e comte de Rougé, comte du Plessis-Bellière, marquis du Fay, Grand d'Espagne, 5e duc de Caylus, marié le 14 juin 1888 à Agnès (18541927), fille de Charles de Rohan-Chabot et sœur de Alain, dont :
      • Marie Pauline Herminie de Rougé (4 octobre 1845 - Paris16 mars 1920 - Chambéry), mariée le 27 mai 1869 (Paris) à son cousin Paul Costa de Beauregard (18391901), dont postérité ;
      • Elodie de Rougé, morte jeune,
    • Fichier:Blason famille fr Costa de Beauregard.svg

      Armes de la maison Costa de Beauregard.

      Marthe Augustine Antoinette Adrienne (Paris VIIe, 11 avril 1812 - Chambéry, 14 juillet 1884), mariée, le 12 mai 1834 à Marcieu (Isère), avec Louis Marie Pantaléon, marquis de Costa de Beauregard (1806-1864), dont :
      • Charles-Albert (1835-1909), historien, homme politique, marié, dont postérité ;
      • Josselin (1836-1916), marié (1864), avec Béatrix Budes de Guébriant (1840-1898)), dont postérité ;
      • Henri (né en 1838), secrétaire d'ambassade ;
      • Paul (1839-1901), marié, le 27 mai 1869 à Paris VIIe, avec sa cousine Herminie de Rougé (1845-1920), fille d'Adolphe, comte de Rougé (1808-1871) et de Marie de Saint-Georges de Vérac (1811-1886), dont postérité ;
      • Camille (1841-1910), chanoine de Chambéry, refusa par deux fois l'épiscopat ;
      • Elisabeth (29 août 1842 - 18 octobre 1843) ;
      • Félicie Marie (30 janvier 1844 - 19 mars 1844) ;
      • Félicie Marie Louise (1845-1893), mariée, le 2 juillet 1866 à Paris VIIe, avec Jules, marquis de Prunelé 1836-1897, dont postérité ;
      • Alix (1845-1915), fille de la Charité (Soeur Mélanie) ;
      • Olivier (1848-1870), sous-lieutenant de lanciers mort pour la France à Sedan
      • Marie-Antoinette (1850-1875), mariée, le 30 mai 1872 à Paris VIIe, avec Arthur de Lancrau (1843-1904), comte de Bréon, polytechnicien (X 1862), capitaine d'artillerie, union sans postérité.
    • Blason famille de La Croix de Castries

      Armes de la maison de La Croix de Castries.

      Alix Marie Léontine (Paris VIIe, 30 mai 1818 - Paris VIIe, 13 février 1900), mariée le 4 juin 1838 avec Gaspard de La Croix (1816-1869), 2e comte de Castries, dont 18 enfants, dont :
      • Marie Joseph Augustin de La Croix de Castries (1852-1912), contre-amiral ;
      • Jacques de La Croix de Castries (1868-1913), marié, en 1894, avec Valentine Emilie Goffe (1870-), dont :

Notes et références[]

  1. Un autre portrait du marquis , par Claude Marie Paul Dubufe (vers 1830), est conservé au château de Castries. Modèle:Base Palissy
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 et 2,4 Pinoteau 1983, p. 83.
  3. Courcelles 1827, p. 235.
  4. Archives départementales des Yvelines, état-civil numérisé de la commune du Tremblay-sur-Mauldre, NMD 1847-1860, acte de décès N°10 de l'année 1858 (vue 158 de la numérisation).
  5. 5,00 5,01 5,02 5,03 5,04 5,05 5,06 5,07 5,08 5,09 et 5,10 Michaud 1843, p. 130.
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 6,4 6,5 6,6 6,7 6,8 et 6,9 Robert & Cougny 1891, p. 499.
  7. 7,0 7,1 7,2 7,3 7,4 et 7,5 Courcelles 1827, p. 234.
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 et 8,4 Michaud 1843, p. 131.
  9. 9,0 et 9,1 Pinoteau 1983, p. 84.
  10. 10,0 et 10,1 Velde 2005, p. Lay peers.
  11. Base Léonore LH/2436/31.
  12. 12,0 12,1 12,2 et 12,3 Courcelles 1827, p. 236.
  13. Rietstap 1884.
  14. Popoff 1996, p. 62 & 77.

Annexes[]

Articles connexes[]

  • Château de Versailles ;
  • Garde du corps du roi ;
  • Liste des chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit ;
  • Chronologie du château de Versailles ;

Liens externes[]

Bibliographie[]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • « VÉRAC (ARMAND-MAXIMILIEN-FRANÇOIS-JOSEPH-OLIVIER DE SAINT-GEORGES, marquis de) », dans Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne : histoire par ordre alphabétique de la vie publique et privée de tous les hommes avec la collaboration de plus de 300 savants et littérateurs français ou étrangers, 2e édition, 1843-1865 [détail de l’édition]  , vol. 43, 697 p. [lire en ligne], p. 130-131  Document utilisé pour la rédaction de l’article ;
  • « DE SAINT-GEORGES, vicomte, puis marquis DE VÉRAC, (Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier) », Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. 12 vol. [détail des éditions]  , vol. VIII, 1827, 378 p. [lire en ligne], p. 234-235  Document utilisé pour la rédaction de l’article ;
  • « VÉRAC (ARMAND-MAXIMILIEN-FRANÇOIS-JOSEPH-OLIVIER DE SAINT-GEORGES, marquis de) » , dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 [détail de l’édition] , t. V, 1891, 570 p. [lire en ligne], p. 499  Document utilisé pour la rédaction de l’article ;
  • Hervé Pinoteau, État de l'ordre du Saint-Esprit en 1830 : et la Survivance des ordres du Roi, Nouvelles Éditions latines, 1983, 165 p. [lire en ligne], p. 83-84  Document utilisé pour la rédaction de l’article ;
  • Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. (I & II), Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887 [lire en ligne]  « et ses Compléments », sur www.euraldic.com (consulté le 23 décembre 2011) ;
  • Michel Popoff et préface d'Hervé Pinoteau, Armorial de l'Ordre du Saint-Esprit : d'après l'œuvre du père Anselme et ses continuateurs, Paris, Le Léopard d'or, 1996, 204 p. (ISBN 2-86377-140-X)  ;
Pour approfondir
  • Germain Sarrut et Edme Thédore Bourg, Biographie Des Hommes Du Jour, vol. 5, Krabbe, 1840, 416 p. [lire en ligne], p. 101-103  ;
  • Arthur Marie Paul Augustin, comte de Rougé, Le marquis de Vérac et ses amis : 1768-1858, Plon, 1890, 368 p. [lire en ligne]  ;
  • Guizot : collection de pamphlets, vol. 37, 1840 [lire en ligne]  ;

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